F1 - CET ENFANT DES ATTITUDES FAIBLES POUR LA  DOCILITÉ ET LA RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

F2 - CET ENFANT DES ATTITUDES OCCASIONNELLES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

F3 - CET ENFANT DES ATTITUDES ÉQUILIBRÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

F4 - CET ENFANT DES ATTITUDES PRONONCÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

F5 - CET ENFANT DES ATTITUDES TRÈS PRONONCÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ

Ce qui signifie que pour cet enfant, les attitudes de docilité et de dépendance ne constituent pas une façon habituelle de se comporter.

Ce qui laisse à penser que pour lui, il n’est pas important d’être docile, réceptif ou de chercher à plaire à qui de droit, sauf peut-être à l’occasion.

Cette tendance que cet enfant a pourrait lui nuire dans ses relations amicales ou sensibles.

En effet, cette dimension de réceptivité ou de respect, face à l’autre, constitue l’un des ingrédients de la recette magique des relations interpersonnelles réussies, bien qu’ici il s’agisse surtout de l’aspect « aimer recevoir » qui est en cause, pas nécessairement de son aspect « aimer donner. »

Or, cet enfant ne semble pratiquement pas posséder les attitudes reliées à cet aspect du « aimer recevoir », par rapport à l’autre.

Remarquez que si l’enfant a moins de 5 ou 6 ans, qu’un tel manque de réceptivité à l’autre peut être qualifié de relativement normal (car un jeune enfant est, par nature, très centré sur lui-même, donc relativement peu réceptif aux besoins de l’autre.)

Quant à l’aspect « aimer donner aux autres », il peut être évalué à partir des résultats que cet enfant a obtenus au Test des Relations Interpersonnelles pour les groupes G (donner de l’aide) et H (donner de l’amitié.)

Ceci dit, il se peut que cet enfant soit peu à l’aise dans des rôles passifs ou réceptifs face à vous, mais l’être davantage dans ceux qui impliquent l’action, le contrôle ou le pouvoir sur la relation du moment.

Là aussi, cela peut être vu comme normal pour les enfants en bas âge.

Mais si l’enfant est plus âgé, le point qui précède pourrait se confirmer au Test des Relations Interpersonnelles par des résultats obtenus qui seraient particulièrement élevés aux groupes B, A et H, et qui seraient particulièrement bas aux groupes D, E et F du Test des Relations Interpersonnelles.

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat très faible obtenu au groupe F du Test des Relations Interpersonnelles :

Enfant probablement peu ou pas docile face à vous ; Peu porté à être réceptif ou sensible à l’autre (normal chez l’enfant en bas âge) ; Cet enfant pourrait préférer jouer un rôle actif ou dominant avec les autres, plutôt qu’un rôle réceptif ou passif ; Possibilité de non-respect ou de réceptivité sensible, face à l’autre (normal chez le très jeune.)

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES FAIBLES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

Encourager cet enfant à développer davantage ses attitudes pour l’écoute, le respect et la réceptivité face à qui de droit (vous-même d’abord, et les autres ensuite)

Encadrer cet enfant de telle façon qu’il puisse davantage développer ses attitudes pour la réceptivité et l’écoute humble, tant face à vous-même que face aux autres

Veiller à ce que cet enfant n’agisse pas de façon trop fière ou trop centrée sur sa personne, en lui faisant bien comprendre que les autres aussi ont leur besoins, qu’ils peuvent avoir le goût de faire ceci ou cela, etc.

Si cet enfant paraît souffrir d’un blocage de la réceptivité sensible aux autres (par suite de trop de stress, de tensions ou de souffrances présentes en lui), ne pas hésiter à le confier à une personne professionnelle spécialisée dans les relations avec les enfants (en autant que cette personne ait déjà fait ses preuves, par le passé.)

Ce qui signifie que cet enfant peut parfois être docile, respectueux ou réceptif face aux autres personnes de son entourage, mais cela ne constitue pas une façon habituelle de faire, pour lui.

Ce qui laisse à penser que pour cet enfant, il n’est pas très important de se montrer « réceptif à l’autre » sauf de temps en temps, à l’occasion.

Bien qu’il ne les aient qu’en partie, les attitudes de respect-réceptivité, face à l’autre, constituent l’un des ingrédients des relations interpersonnelles réussies, bien qu’ici il s’agisse surtout de l’aspect « recevoir » des relations qui est en cause, pas nécessairement de son aspect « donner. »

Cet enfant possède donc une certaine lacune au niveau de l’aspect « recevoir » des relations humaines en général.

Pour les enfants âgés en bas de « l’âge de raison » - 7 ou 8 ans - un tel résultat peut être qualifié de normal, bien que certains enfants plus jeunes soient capables d’une réceptivité au moins équivalente, si ce n’est supérieure.

Quant à l’évaluation de l’aspect du « donner » pour cet enfant, il peut l’être par les  résultats qu’il a obtenu aux groupes « G » (donner du support ou de l’aide) et « H » (donner de l’amitié et de soi) de son Test des Relations Interpersonnelles.

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat faible obtenu au groupe F du Test des Relations Interpersonnelles :

Cet enfant est capable de réceptivité à l’autre, mais il ne le fera pas nécessairement ; Il est capable de réceptivité à l’autre ; Il est capable de respecter et de faire plaisir à l’autre ; Mais le tout de façon plutôt mineure, occasionnelle ; Il se peut que cet enfant préfère un rôle actif ou dominant plutôt qu’un rôle réceptif ou soumis, face aux autres.

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES OCCASIONNELLES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

Encourager cet enfant à développer davantage ses attitudes pour l’écoute, le respect et la réceptivité face à qui de droit (vous-même d’abord, et les autres ensuite)

Encadrer cet enfant de telle façon qu’il puisse davantage développer ses attitudes pour la réceptivité et l’écoute humble, tant face à vous-même que face aux autres

Veiller à ce que cet enfant n’agisse pas de façon trop fière ou trop centrée sur sa personne, en lui faisant bien comprendre que les autres aussi ont leur besoins, qu’ils peuvent avoir le goût de faire ceci ou cela, etc.

Si cet enfant paraît souffrir d’un blocage de la réceptivité sensible aux autres (par suite de trop de stress, de tensions ou de souffrances présentes en lui), ne pas hésiter à le confier à une personne professionnelle spécialisée dans les relations avec les enfants (en autant que cette personne ait déjà fait ses preuves, par le passé.)

Ce qui signifie que cet enfant aime bien établir des rapports humains basés sur la réceptivité et l’accueil humble face à vous.

Concrètement, cela pourra se réaliser à partir de la recherche de conseils, de demandes d’être aidé, de recevoir de l’écoute ou de la disponibilité, par qui de droit.

Par de telles attitudes, cet enfant se trouve à laisser une place importante à l’autre qui peut alors y aller de ses conseils, de son aide ou de son écoute.

Par une telle position de réceptivité-attente vis-à-vis de l’autre, cet enfant se trouve à se mettre en état de réceptivité mentale, ce que l’on peut appeler de la « docilité », qui n’est pas de la dépendance comme telle.

Or, dans une telle position de relation, l’autre est généralement perçu comme « OK », donc considéré positivement.

Cela est très plaisant à vivre sur le plan mental, et implique une confiance évidente en l’autre.

Cette forme de respect-réceptivité à l’autre est certainement l’un des ingrédients des relations interpersonnelles réussies, dans la vie, bien qu’ici il s’agisse surtout de l’aspect « recevoir » des relations humaines qui est en cause, pas nécessairement de son aspect « donner. »

Pour évaluer l’aspect du « donner » pour cet enfant, il peut être évalué par les résultats qu’il a obtenus aux groupes « G » (donner du support ou de l’aide) et « H » (donner de l’amitié et de soi) de son Test des Relations Interpersonnelles.

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat moyen ou souple obtenu au groupe F du Test des Relations Interpersonnelles :

Cet enfant est capable de respect et de réceptivité à l’autre ; Il est capable de réceptivité vis-à-vis de l’attention ou de l’affection que l’on peut chercher à lui donner ; Cet enfant accepte de recevoir de la disponibilité personnelle ou de la chaleur humaine ; Il tendra à être réceptif aux conseils qu’on lui donne, ainsi qu’à recevoir de l’aide lorsqu’il en ressent le besoin ; L’aspect du « aimer recevoir » que l’on retrouve dans les relations humaines, semble être développé de façon moyenne et normale, chez cet enfant.

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES ÉQUILIBRÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

Guider cet enfant dans l’équilibre délicat à maintenir entre la réceptivité qu’il sait accorder aux autres, et la réceptivité qu’il a à s’accorder à lui-même

Aider cet enfant à reconnaître les individus autour de lui qui peuvent rapidement le vider de ses énergies, afin qu’il puisse protéger au maximum sa réceptivité sensible aux autres (protection des énergies sensibles de cet enfant)

Encourager cet enfant à maintenir (et même à promouvoir) une identité personnelle qui lui appartienne vraiment (ses besoins, ses intérêts, etc)

Encourager cet enfant à maintenir (et même à promouvoir) des caractéristiques de réceptivité et d’autonomie dans ses relations avec les autres

Aider cet enfant à identifier des moyens efficaces pour lui et grâce auxquels il pourra recharger ses énergies mentales.

Il est normal qu’en bas âge, un enfant ait tendance à avoir des attitudes prononcées de dépendance au parent, que cela est normal dans la construction de son identité personnelle.

Mais si cet enfant a 6 ans ou + (et en particulier s’il approche de son adolescence) alors ce résultat signifie que cet enfant cherchera beaucoup à plaire et à se soumettre à l’autre, à s’accorder ou à se conformer à ce que l’autre veut et aime, mais en s’oubliant beaucoup lui-même, en chemin.

Cette réceptivité à l’autre pourrait même être si développée que l’on pourrait parler ici d’un début d’emprise ou de dépendance, chez cet enfant, face qui de droit.

Il importe ici de ne faut pas confondre « dépendance » et « amour » car dans la dépendance il existe un manque de liberté personnelle que l’on ne retrouve pas dans l’amour, du moins en règle générale.

Si l’enfant est grand et qu’il a obtenu un résultat élevé à son Test des Relations Interpersonnelles, pour les attitudes de docilité et de dépendance, il se pourrait alors qu’il puisse devenir confus – du moins à l’occasion - quant à sa véritable identité, comme en oublier des bouts, car pensant tellement à ce que l’autre souhaiterait pour lui, qu’il en oublierait ce qu’il souhaite vraiment, pour lui-même.

Chez cet enfant, il se pourrait donc qu’à l’occasion, il ressente la désagréable impression de ne pas vraiment s’appartenir, comme d’être en train de devenir quelqu’un d’autre.

À l’adolescence, cet enfant pourrait soit demeurer conformiste et soumis, soit se rebeller et alors réagir en s’opposant en rebelle à de nombreuses demandes faites par vous ou par qui de droit, devenant alors en réaction à autant de soumissions vécues au passé face à qui de droit.

Une façon pour vous de prévenir cela serait d’agir de telle sorte que cet enfant puisse développer dès maintenant (6 ans et +) des caractéristiques d’affirmation de soi ainsi qu’une identité personnelle qui lui appartienne vraiment (avec des intérêts et des goûts bien à lui, qui ne soient pas le calque de ceux de personnes de qui il serait dépendant en ce moment.)

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe F du Test des Relations Interpersonnelles :

Cet enfant présente des tendances à la soumission ou à la dépendance face à qui de droit ; Il a des difficultés à s’opposer à l’autre ; Difficultés à dire non ou bien à s’affirmer ; Cet enfant peut attendre beaucoup de qui de droit ; L’aspect du « aimer recevoir de l’autre » semble très développé chez cet enfant, peut-être trop ((mais ceci n’est pas vrai, dans le cas de l’enfant en bas âge, 6 ans et moins.)

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES PRONONCÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ À L’AUTRE

Accepter d’agir comme modèle concret pour cet enfant (moins de 6 ans) qui tendra à vouloir imiter vos comportements et vos conduites, par suite du processus naturel d’identification de l’enfant à ses parents (surtout si vous êtes du même sexe que cet enfant et que vous êtes son parent)

Encourager cet enfant (6 ans et +) à développer des caractéristiques d’indépendance et d’autonomie dans ses relations en général

Inciter cet enfant (6 ans et +) à développer une identité personnelle qui lui appartienne vraiment (ses besoins, ses intérêts, etc)

Si cet enfant devenu adolescent conserve des attitudes prononcées de dépendance, lui offrir alors les services d’un (e) thérapeute afin qu’il puisse développer les caractéristiques d’autonomie souhaitée

Il est normal qu’en bas âge, un enfant ait tendance à avoir des attitudes prononcées de dépendance au parent, que cela est normal dans la construction de son identité personnelle.

Mais si cet enfant a 6 ans ou + (et en particulier s’il approche de son adolescence) alors ce résultat signifie que cet enfant cherchera beaucoup à plaire et à se soumettre à l’autre, à s’accorder ou à se conformer à ce que l’autre veut et aime, mais en s’oubliant beaucoup lui-même, en chemin.

Cette réceptivité à l’autre pourrait même être si développée que l’on pourrait parler ici d’un début d’emprise ou de dépendance, chez cet enfant, face qui de droit.

Il importe ici de ne faut pas confondre « dépendance » et « amour » car dans la dépendance il existe un manque de liberté personnelle que l’on ne retrouve pas dans l’amour, du moins en règle générale.

Si l’enfant est grand et qu’il a obtenu un résultat élevé à son Test des Relations Interpersonnelles, pour les attitudes de docilité et de dépendance, il se pourrait alors qu’il puisse devenir confus – du moins à l’occasion - quant à sa véritable identité, comme en oublier des bouts, car pensant tellement à ce que l’autre souhaiterait pour lui, qu’il en oublierait ce qu’il souhaite vraiment, pour lui-même.

Chez cet enfant, il se pourrait donc qu’à l’occasion, il ressente la désagréable impression de ne pas vraiment s’appartenir, comme d’être en train de devenir quelqu’un d’autre.

À l’adolescence, cet enfant pourrait soit demeurer conformiste et soumis, soit se rebeller et alors réagir en s’opposant en rebelle à de nombreuses demandes faites par vous ou par qui de droit, devenant alors en réaction à autant de soumissions vécues au passé face à qui de droit.

Une façon pour vous de prévenir cela serait d’agir de telle sorte que cet enfant puisse développer dès maintenant (6 ans et +) des caractéristiques d’affirmation de soi ainsi qu’une identité personnelle qui lui appartienne vraiment (avec des intérêts et des goûts bien à lui, qui ne soient pas le calque de ceux de personnes de qui il serait dépendant en ce moment.)

Voici maintenant quelques qualificatifs ou expressions résumant ce résultat élevé obtenu au groupe F du Test des Relations Interpersonnelles :

Cet enfant présente des tendances à la soumission ou à la dépendance face à qui de droit ; Il a des difficultés à s’opposer à l’autre ; Difficultés à dire non ou bien à s’affirmer ; Cet enfant peut attendre beaucoup de qui de droit ; L’aspect du « aimer recevoir de l’autre » semble très développé chez cet enfant, peut-être trop (mais ceci n’est pas vrai, dans le cas de l’enfant en bas âge, 6 ans et moins.)

SUGGESTIONS POUR CET ENFANT QUI A DES ATTITUDES TRÈS PRONONCÉES DE DOCILITÉ ET DE RÉCEPTIVITÉ

Accepter d’agir comme modèle concret pour cet enfant (moins de 6 ans) qui tendra à vouloir imiter vos comportements et vos conduites, par suite du processus naturel d’identification de l’enfant à ses parents (surtout si vous êtes du même sexe que cet enfant et que vous êtes son parent)

Encourager cet enfant (6 ans et +) à développer des caractéristiques d’indépendance et d’autonomie dans ses relations en général

Inciter cet enfant (6 ans et +) à développer une identité personnelle qui lui appartienne vraiment (ses besoins, ses intérêts, etc)

Si cet enfant devenu adolescent conserve des attitudes prononcées de dépendance, lui offrir alors les services d’un (e) thérapeute afin qu’il puisse développer les caractéristiques d’autonomie souhaitée

Sections à venir : G1 à G5 - Les attitudes pour le DÉVOUEMENT (enfant) et H1 à H5 - Les attitudes pour l'AMITIÉ (enfant)